Chronique de Escape With a Book sur « Espoir sors moi du noir », le livre de la box n°1.
« Jam est un jeune homme qui ne vit que pour écrire.
Son parrain est un ancien auteur solitaire.
L’un rêve d’avenir, l’autre se souvient de son amour tragique.
Deux destins qui s’entrecroisent autour d’une malle à histoires…
Entre espoirs et souvenirs, rêves et réalité, lumière et obscurité. »
/!\ Alerte au gros gros coup de coeur /!\
J’ai A-DO-RE cette lecture ! La plume est fluide, douce, poétique : PARFAITE !
On suit Jam’, un jeune homme de 18 ans qui passe son temps à lire et écrire. Je me suis sentie très proche du personnage notamment pour la proximité dans l’âge mais également parce qu’on partage la même passion, le même besoin : écrire !
Les parents du héros ne vont pas comprendre cette passion et vont le « punir » en l’envoyant chez son parrain, vieil homme également écrivain pour que Jam’ voit les ‘ravages’ de cette obsession d’écrire… Ce qui ne va pas se passer comme ça, vous vous en douterez ! 😉
Là aussi, je me suis sentie proche du personnage même si mes parents m’ont (presque) toujours soutenue dans ma passion, j’ai quand même eu le droit à » écrivain n’est pas un véritable métier » (Pas forcément que de mes parents d’ailleurs).
Les descriptions sont très belles, l’histoire touchante avec beaucoup d’amour et de simplicité (juste la vie en fait !) mais ce que j’ai surtout adoré c’est la poésie qui règne dans cet écrit ! Des métaphores, des allégories, des jeux de mots tout le temps,… c’est incroyablement magnifique ! Ce livre mérite d’être connu pour son histoire bien sûr mais surtout pour l’écriture qui est très belle et d’un niveau que j’aimerais pouvoir atteindre un jour !
Deux citations:
» Alors si elle ne me manquait pas, vois-tu, ça signifierait que je ne l’aime pas, que je ne l’aime plus. L’absence c’est déjà quelqu’un, mais où il n’y a personne il n’y a plus rien. Ce serait m’effacer en même temps qu’elle, ça ne signifierait rien, ce serait me tuer. ça n’aurait aucun sens. »
« Dans les rues je cherche encore ta main. Avant, je n’osais la prendre de peur de t’étouffer. Maintenant, j’étouffe de ne plus jamais la trouver. »